Il est des guérisons qui s'apparentent à des résurrections, des rencontres de Dieu qui libèrent notre innocence, notre esprit d'enfant appelé au Royaume. C'est ce que nous découvrons à travers le récit de l'hémorroïsse, sœur d'espérance et de la fille de Jaïre, sœur d'innocence.
L'histoire du démoniaque de Gérasa manifeste la détermination de Jésus face au mal et l'espérance qu'il met dans la capacité de changer de l'homme qui accepte de s'unir à son mystère pascal. Y sommes-nous prêts ? Et à quel prix ?
Homme de raison ou femme de cœur... à la source de cette eau à laquelle il invite chacun à boire, le Christ nous conduit à mieux reconnaître qui nous sommes comme croyant et à une attitude juste dans une relation pastorale.
Bien des commentateurs de la Bible ont fait remarquer que Jésus mange plus souvent qu'il ne prie dans l'évangile. Parmi les repas de Jésus, il en est où il se laisse inviter ou s'invite à manger.
Le récit ordonné que fait Luc des événements de la vie de Jésus va du Temple de Jérusalem au Temple de Jérusalem, depuis l'offrande d'encens d'un prêtre de l'ère ancienne, Zacharie, le père de Jean Le Baptiste, (Luc 1,9) jusqu'à la prière des Onze et de leurs compagnons, base de la nouvelle communauté, après leur séparation d'avec Jésus ressuscité. (Luc 24,51-53).
On pense souvent à Judas comme celui qui reste à l'écart du salut offert par Jésus dans la passion, comme s'il fallait qu'il y ait un fils de perdition. Mais sa mort nous en dit peut-être plus sur l'amour de Dieu que sur sa damnation.
De quelle manière l'Esprit Saint nous fait-il passer à une attitude de fils ? Gérard Berliet l'illustre à travers la sortie d'une crise et en faisant référence à quelques pistes d'ordre psychologique et spirituel.
L'Avent nous présentera bientôt les grands croyants dans l'attente du salut. Parmi eux, deux beaux vieillards : Zacharie et Syméon, qui figurent l'un et l'autre le peuple d'Israël à bout de force.
Durant toute l'année, le père Joseph Stricher nous a accompagnés dans une lecture de l'évangile de Luc. Son dernier article est consacré au combat que Jésus mène contre le démon, à la libération de l'homme et à l'annonce de la bonne nouvelle. Mais l'homme saura-t-il l'entendre ?
Aujourd'hui cette écriture est accomplie pour vous qui l'entendez. La prédication de Jésus dans la synagogue est essentiellement une invitation à se tourner vers Dieu pour en comprendre le projet d'amour sur toute l'humanité et pour y adhérer (Luc 4 14-22)
Quand Jésus veut nous confier une mission à ses côtés, il prend soin, à un moment donné, de nous faire rencontrer sa croix au point de nous faire perdre pied. Ce que découvre l'apôtre Pierre quand le Christ lui demande: m'aimes-tu ?.
L’évangile de Luc est par excellence l'évangile de l'Esprit. il convient de le lire tout particulièrement cette année où l'Eglise, dans le cadre de la préparation au Jubilé, nous invite à méditer l'Esprit Saint. Regardons comment le SouMe de Dieu est à l’œuvre au moment où Jésus commence sa vie publique (Lc 3,23-4,15).
En présentant le psaume 95 (Vie Chrétienne n°425), nous avons déjà eu l'occasion de parler des psaumes du Règne et de signaler que le psaume 94 est parfois rangé dans cette catégorie.
Qui est Jésus ? Et en quoi suis-je concerné par le récit de sa vie ? Aucun lecteur de l'évangile ne peut faire l'impasse sur ces questions qui, consciemment ou non, influent sa lecture.
Dans la nuit de Jérusalem, des lampes brûlent, éclairant des visages d'hommes et de femmes en prière. La maison de Marie et de son fils Marc s'est emplie de chrétiens angoissés : Pierre a été jeté en prison...
Le Temple de Jérusalem occupe une place importante dans l'évangile de Luc. Dans l'évangile de l'enfance trois scènes significatives s'y déroulent.
Le jour de l'Épiphanie, après la lecture du prophète Isaïe qui annonce à Jérusalem : Les nations marcheront vers ta lumière, et les rois, vers la clarté de ton aurore, on chante le psaume 71 : Les rois se prosterneront devant toi.
Lui ne connaît ce célèbre chant de Noël ? Même ceux qui ne fréquentent pas la communauté chrétienne peuvent le fredonner.
L’évangile de Luc est un message de bonheur. Le lire est un régal, une nourriture pour l'esprit et le cœur. Dix-neuf siècles après sa composition, il n'a rien perdu de sa fraîcheur et de sa séduction.
« Ce n'est pas d'en savoir beaucoup qui rassasie et satisfait l'âme, mais de sentir et goûter les choses intérieurement ». Je voudrais partir de cette remarque bien connue de la fin de la deuxième annotation des Exercices pour éclairer la notion de festin dans la Bible.
Le produit a été ajouté au panier
