« Il va mourir, il faut appeler un prêtre ! » Dans la solitude de sa chambre déjà funèbre, ou celle, pire encore, du paravent placé autour de son lit dans la salle d’hôpital, l’agonisant souvent déjà inconscient (« Attendez encore un peu, mon Père, cela lui ferait trop peur ! ») était alors « administré » furtivement, sans qu’il s’en aperçoive.
Le Rédempteur de l’homme, Jésus Christ, est le centre du cosmos et de l’histoire (...) « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique pour que tout homme qui croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle » (Jn 3,16)-N° 1.
Parler du sacrement de pénitence, c’est pour beaucoup évoquer l’un des mots les plus insupportables du langage religieux en effet, « pénitence » est un mot qui signifie trop souvent, soit privations et souffrances, soit punition encourue pour des fautes. Qu’il suffise d’évoquer les expressions du langage courant : « faire pénitence », « mettre en pénitence »…
Depuis quelques années, les mots par lesquels l’Eglise désigne le sacrement de la rémission des péchés ont quelque peu varié. D’aucuns ont cru y voir seulement un désir de changement pour désigner une réalité toujours semblable à elle-même.
Que dire du péché ? Une seule chose est sûre : le péché est ce dont le Christ me sauve par sa mort. Mystère de la dimension théologale de mes actes. Le péché est essentiellement objet de foi.
Sous ce titre liturgique (et plein de fierté !) les évêques de France ont publié, après l’assemblée de Lourdes 1978, un petit livre où ils disent la toi commune de l’Eglise. C’est un beau texte qu’il faut connaître, simple, clair, et souvent poétique.
Sous ce titre liturgique (et plein de fierté !) les évêques de France ont publié, après l’assemblée de Lourdes 1978, un petit livre (1) où ils disent la toi commune de l’Eglise. C’est un beau texte qu’il faut connaître, simple, clair, et souvent poétique.
On parle beaucoup de l’amour mais, comme toutes les réalités fonda mentales de l’existence, l’amour est indéfinissable. Pour compliquer les choses, le Christ est venu nous dire que Dieu était amour, que nous devions nous aimer les uns les autres comme il nous a aimés, c’est-à-dire comme il aime son Père et comme son Père l’aime.
Le sacrement du mariage reposant sur l’excellence conjugale du Christ, il saute aux yeux qu’un tel sacrement couronne en nous toute une histoire, Trois temps apparaissent surtout que je propose d’appeler éducation, consécration et réalisation.
Un des titres les plus sûrs du Christ aux yeux du Nouveau Testament et l’un des plus négligés aujourd’hui est son titre d’Epoux. C’est par ce nom que Jean Baptiste désigne Jésus en se définissant lui-même par rapport à Jésus comme « l’ami de l’Epoux ».
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