L'examen, une priére d'alliance
Revue N°311 - Juillet 1987
Les lignes qui suivent nous ont été communiquées par un participant de la session donnée à Chantilly en juin 1985. Elles sont un résumé de l'intervention de P. Gouet.
Les lignes qui suivent nous ont été communiquées par un participant de la session donnée à Chantilly en juin 1985. Elles sont un résumé de l'intervention de P. Gouet.
Fête de l'Esprit, la Pentecôte marque l'aboutissement de Pâques : c'est à partir d'elle et par elle que s'affirme le renouvellement d'un monde recréé par Dieu. En se tournant vers l'événement qui l'a fondée, de quoi l'Eglise veut-elle faire mémoire et que veut-elle annoncer ?
De septembre 1521 à mars 1522, Ignace est en convalescence à Loyola. Il est immobilisé dans sa chambre, il s'ennuie, il rêve, il a envie de lire pour s'évader.
Ce texte a été écrit en anglais par le Père Albert Nolan. Elu en septembre 1983 Maître Général de l'Ordre des Frères Prêcheurs, il reçut l'autorisation du Chapitre Général de refuser cette charge pour continuer son travail de base en Afrique du Sud.
Bien souvent, notre façon de parler du lien entre témoignage de notre foi et combat pour la justice laisserait croire que, bien sûr, cela ne va pas bien du côté de la justice, mais qu'en revanche, nous sommes sûrs de faire ce qu'il faut du côté de la foi ! Rien n'est moins certain ! Comme si ce n'était pas toujours miracle et grâce à demander, de pouvoir prononcer une parole de foi !
Après nous avoir fait parcourir, de l'Avent à la Pentecôte, l'histoire par laquelle le salut nous a été manifesté et donné, la liturgie nous met en face du mystère de Dieu qu'elle nous avait fait voir à l’œuvre.
Pour vous, qu'est-ce que croire ?, demandait-on à brûle-pourpoint à un prêtre. Bien sûr, il lui était aisé de s'en tirer à peu de frais, en répétant des vérités à croire, en communiquant des informations préfabriquées, prédigérées, comme l'on en trouve dans tous les catéchismes et les ouvrages de théologie élémentaires avec « questions et réponses.
Avec ce numéro, et pour soutenir notre prière durant la Semaine Sainte, s'achève la longue méditation sur la Croix. Révélation du péché qui va à la mort, révélation de la vérité de l'homme en Jésus, la Croix est aussi révélatrice de la vérité de Dieu et du Père.
Jésus a vécu la condition humaine jusqu'au bout, jusqu'à la mort. En ce sens, si sa mort est un scandale, son incarnation l'est déjà. Mais aussi, si sa mort a une valeur salvifique, sa vie tout entière l'a également. La croix est révélatrice de la vérité de l'homme en Jésus.
Que peut vouloir dire aux homme d'aujourd'hui l'annonce du salut par la Croix ? En quoi, pour nos contemporains, l'arrestation clandestine, la trahison, le procès injuste, la souffrance, l'exécution, toutes choses malheureusement encore très présentes dans notre monde, annoncent-elles le salut ?
C'est de mes défunts que je veux me souvenir auprès de Toi, Seigneur ; de tous ceux qui, jadis, faisaient partie de moi-même et qui m'ont quitté.
A l'occasion de la fête de tous les Saints, l'Eglise propose à notre méditation le texte évangélique des Béatitudes.Plus encore qu'une règle de vie, c'est un voile levé sur le mystère de Dieu.
Au moment où nous préparions ce numéro, la presse commentait un document romain sur les rapports judéo-chrétiens : JESUS EST RESTE JUIF.
Le mot paix est sur toutes les lèvres. A regarder de près tous ces discours sur la paix, on se rend vite compte qu'ils ne signifient pas forcément la même chose.
Dieu seul est saint. Parce que seul il est Dieu, seul Tout autre, seul Créateur. Devant lui, toute créature, fut-elle la plus pure, ne peut que se voiler la face, comme Isaïe le voit faire aux Séraphins (Is 6, 4).
Nous ne devons pas seulement croire, mais veiller ; non seulement aimer, mais veiller ;non seulement obéir, mais veiller. Veiller pourquoi ?Pour ce grand événement : la venue du Christ.
On a pu s’étonner que la réfection de la version française du Pater ne se soit pas étendue à celle de l’Ave Maria. Le motif en est clair. L’emploi du français dans la liturgie, et l’adoption du tutoiement pour harmoniser les textes liturgiques avec les bibles mises à la disposition des fidèles, ont nécessité une nouvelle traduction du Pater, et cela d’autant plus que ce remaniement pouvait occasionner un rapprochement avec nos frères Réformés et Orientaux.
Le Fils de Dieu est venu parmi les siens. Il est au milieu d’eux, il est l’un d’eux. Mais cette proximité locale est le signe d’une présence plus mystérieuse.
Aussi loin que nous pouvons remonter dans l’histoire de l’humanité, et dans la mesure où nous sommes capables d’interpréter ses archives, nous rencontrons Dieu, ou du moins des dieux, des esprits, du sacré, du divin. Avant l’homme il y a Dieu. Partout où l’humanité se répand, la divinité déjà occupe le terrain.
Dans la Bible, l’expression « gloire de Dieu » désigne « Dieu lui-même en tant qu’il se révèle en sa majesté, sa puissance, l’éclat de sa sainteté, le dynamisme de son Etre »
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