Quelles ouvertures pour demain ?
Revue N°403 - Décembre 1995
Texte de l'intervention au ton quelque peu humoristique, de Jean-Claude Sailly au Congrès de la Communauté Vie Chrétienne, Envoyés en tous lieux, réunis dans L'Esprit, PentecÔte 1995.
Texte de l'intervention au ton quelque peu humoristique, de Jean-Claude Sailly au Congrès de la Communauté Vie Chrétienne, Envoyés en tous lieux, réunis dans L'Esprit, PentecÔte 1995.
Le Père Jacques Sommet est une figure de notre temps. Jeune jésuite, étudiant à la Sorbonne et à l'Ecole Libre des Sciences Politiques, des activités de résistance l'ont conduit au camp de Dachau.
Le père Michel Bourgeois, 74 ans, a survécu à la dégradation implacable des camps de concentration et a travaillé longtemps dans le dur milieu de la pêche. Aujourd'hui retraité, il témoigne de son combat incessant contre tout ce qui déshumanise l'homme.
La violence est un problème complexe. Ici, l'auteur, à partir de sa « technicité » de psychothérapeute, et nourri de théologie, tente dans notre langage courant, d'éclairer des aspects de nos comportements essentiels à connaître pour une vie spirituelle plus vraie.
En couple, nous accompagnons depuis deux ans une adulte autrefois baptisée, qui s'est éloignée de l'Eglise et de la foi chrétienne pendant de nombreuses années, et qui désire aujourd'hui « s'y remettre ».
Se loger fait partie des besoins premiers, comme se nourrir et donc travailler.
Nous présentons ici les résultats d'une étude qui peut nous aider à lire et à entendre des textes en tenant compte de l'auteur, de sa personnalité et de sa formation, aussi bien que de son objectif.
Les 3 et 4 décembre 94, s'est tenu à Nantes le congrès national du Mouvement des Cadres et Dirigeants Chrétiens (M.C.C.). Cet événement, important pour le mouvement, est aussi marquant pour l'Eglise de France et pour la société civile. C'est pourquoi nous en proposons un écho pour les lecteurs de Vie Chrétienne.
Explosions, colère : ces mots se déclinent aujourd'hui avec ceux, déjà plus anciens de mélancolie ou de morosité
Vertigineuse, cette parabole qui nous plante, méditatifs, au bord d'un gouffre. Sur une rive abrupte, un pauvre logé dans le bonheur d'aimer et d'être aimé, sur l'autre dénudée, un riche dans une solitude brûlante.
b>« Suivre le Christ est le fondement essentiel et original de la morale chrétienne : comme le peuple d'Israël suivait Dieu qui le conduisait dans le désert vers la terre promise, de même le disciple doit suivre Jésus vers lequel le Père lui-même l'attire. » (Veritatis Splendor, n° 19)
Le point le plus faible des suggestions dont il vient d'être question réside dans la conception insuffisante des rapports entre l'homme et la société.
Suite à notre article « Au nom de la dignité humaine », paru dans notre numéro de décembre 1993, nous avons demandé au Père Henri Madelin, aumônier national du MCC, d'attirer à nouveau notre attention sur l'importance de la Déclaration de la Commission épiscopale des évêques de France, publiée en septembre 1993.
La Déclaration de la Commission sociale de l'Épiscopat, publiée fin septembre, nous invite à remettre en question nos idées et nos conceptions sur la société ; c'est à une véritable conversion spirituelle que les évêques appellent les laïcs chrétiens que nous sommes, envoyés dans le monde pour le transformer en vue du Royaume.
La peur qu'inspire l'étranger est enfouie dans le cœur des hommes. Faut-il s'en étonner ?
A partir du moment où l'on passe d'une économie naturelle à une économie d'échange, et d'une économie stable à une économie de croissance, les exigences éthiques se transforment.
En 1840, Villermé, un chirurgien qui venait de quitter son métier pour se consacrer à l'étude des questions soulevées par les inégalités sociales
La scène se passe au Japon, un lundi matin d'octobre 1988. Bernard Rérolle, prêtre catholique en année sabbatique, se prépare à vivre une retraite dans un monastère bouddhiste.
A l'ADFI*, on a coutume de dénoncer les masques sous lesquels les sectes sectaires se cachent et séduisent. On peut distinguer quatre types de masques.
En avril dernier, des cardinaux du monde entier se réunissaient en un consistoire extraordinaire pour tirer la sonnette d'alarme à propos de ce qu'ils appelaient pudiquement « les nouveaux mouvements religieux », groupes en tous genres qui envahissent les cinq continents et constituent un des plus grands défis pastoraux pour les Églises en ce XXe siècle finissant.
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