Cette histoire que je vais vous conter se passe il y a très longtemps. On ne sait plus à quelle époque tant cela est loin. De génération en génération elle est demeurée vivante et est parvenue jusqu'à nous.
Journaux, télévisions, discours, discussions, conversations, tournent et retournent, à propos des émigrés, la question de l'avenir de notre société :, chacun chez soi ou société multiraciale, rejet ou intégration...
Nous publions dans ces pages une partie d'une remarquable étude sur les réfugiés, comme problème de justice à l'échelle mondiale. Le point de vue descriptif, avec son côté humain et souvent tragique y est présent.
L'immigration, et singulièrement celle des musulmans, est au centre du débat politique depuis quelques mois. Dans l'abondante littérature qu'elle a suscité, nous nous sommes intéressés à l'aspect religieux.
La décennie de la femme, ouverte en 1975 par les Nations Unies, a pris fin, non sans être relancée dans un nouveau programme d'action : « Stratégie pour l'an 2000. » Celui-Ci vient mettre en application la nouvelle convention des Nations Unies sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes.
On a souvent reproché aux chrétiens d'ignorer ou mépriser leur corps. Pourtant Pascal nous avait avertis que « qui veut faire l'ange fait la bête »... Devant l'inflation des doctrines et la prolifération des techniques qui l'on aujourd'hui pour cible, il nous a semblé utile de faire le point, en nous aidant de publications récentes.
De nombreuses prises de position d'évêques, de mouvements, de groupes, chrétiens ou non, viennent de s'élever contre le racisme et les idéologies qui le favorisent. Au-delà de la condamnation ferme: « Le racisme est incompatible avec l'Evangile», il s'agit de réfléchir à la manière de construire l'avenir de notre pays.
Comme nous l'avions annoncé, nous faisons suivre l'article de J. -L. Schlegel sur la Théologie de la libération par ces impressions, communiquées par le Cardinal Godfried Danneels, archevêque de Malines-Bruxelles, à son retour d'un voyage d'un mois en Amérique Latine, l'été 1984.
Je vous donnerai en leur saison les pluies qu'il vous faut, la terre donnera ses produits et l'arbre de la campagne ses fruits, vous battrez jusqu'aux vendanges et vous vendangerez jusqu'aux semailles.
Touchés par le témoignage de Roland DORIOL sur les BOAT PEOPLE, que vous avez pu lire dans notre précédent numéro, nous avons demandé ce qu'ils devenaient ensuite, à un Français qui en a accueillis.
Les nouveaux pauvres ! Pourquoi nouveaux ? Seraient-ils d'une race insoupçonnée de nos sociologues ? Les nouveaux pauvres dérangeraient-ils plus que les anciens ? Comme si leur apparition suscitait une approche inédite de la pauvreté et aiguisait à nouveau notre regard frileux.
Un cri ; qui surprend. Et pourtant... Du 9 janvier au 29 février 1984, les seuls Chiffonniers d’Emmaüs ont distribué douze mille repas dans les rues de Paris.
Un jour, un garçon de trois ans qui s’appelait Kartik était en train de jouer dehors avec ses camarades. Il trouva tout à coup une balle près du caniveau. Il était si heureux de trouver un nouveau jouet Kartik ramassa la balle et comme elle était plus lourde que prévu, il la laissa tomber.
Chrétiens et musulmans se trouvent vivre ensemble un peu partout dans un monde en voie de difficile unification : bon gré mal gré, ils y collaborent au progrès des peuples et y travaillent au salut des hommes, au coude à coude fraternel avec bien des personnes, croyants ou athées, qui appartiennent aux grandes religions historiques, aux récents mouvements religieux ou aux nouvelles idéologies modernes.
Joyeuses Béatitudes ! Y a-t-il mot plus universel, plus universellement attendu, plus universellement compréhensible que le mot : Heureux ? C’est le mot-clé de notre message, de notre mission. Nous sommes chargés de le faire retentir partout, de le faire entendre à tous, au nom de Celui qui est mort pour tous et désire les rassembler tous.
Nous roulons tranquillement sur une route bordée de vignes, aux alentours de Beaune. La 504 obéit docilement aux mains habiles de son conducteur nous goûtons le calme, la lumière de ce matin d’hiver sec et froid. Sérénité...
Notre civilisation triche avec la mort. De multiples manières, elle s’ingénie à la camoufler, à nous empêcher d’y penser. Elle pense ainsi nous faire vivre plus intensément. En réalité, elle rend la vie humaine plus superficielle, plus banale. Sans pour autant nous libérer vraiment de l’angoisse de la mort, sans pouvoir nous éviter le spectacle quotidien des violences, des guerres, des accidents de la route.
Je travaille sur le quai d’une entreprise de messagerie comme manutentionnaire spécialisé (on dit : « manut’spé ». C’est le « première classe » des manut’. On le devient après trois mois). Messagerie, ça veut dire des colis de toutes sortes, d’un kilo à trois tonnes, de la longue barre d’acier lourde à soulever à la main au carton de médicaments bien emballé.
Membre de la délégation française à la XXXIIIe Congrégation Générale de la Compagnie de Jésus, je réponds volontiers à l’invitation de partager quelque chose de cette expérience exceptionnelle avec les lecteurs et amis de Vie Chrétienne.
La définition exacte de ce que signifie le mot « réfugié » est de la plus haute importance pour assurer la sauvegarde légale des droits humains des réfugiés.
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