Me voici, une fois de plus, à 30 000 pieds d'altitude, revenant d'un voyage en Inde que je n'avais pas souhaité. Mille images se bousculent dans ma tête, je les accueille comme des grâces : grâce d'avoir eu encore l'occasion d'élargir ma vision du Peuple de Dieu ; grâce de ressentir en mon cœur l'injustice du' partage des richesses du Monde, toutes créées pour l'homme.
Dans un livre qu'il a publié récemment sur ses expériences dans les camps de concentration allemands, Floris B. Bakels rend témoignage à la puissance de la prière comme action.
Une réunion, un soir, dans la banlieue d'une ville moderne. Il y a là des chrétiens, des prêtres en paroisse et l'évêque. Ils s'interrogent sur la prolifération de la vie associative. Dans nos cités fleurissent de nombreuses associations aux buts variés.
L'autre jour, grande discussion avec un groupe de jeunes, à propos de Pilate. C'était l'entrée du Carême. Ils m'ont fait prendre des chemins inattendus. Et fait tester la jeunesse de ma foi.
Le camp de réfugiés de Sakaew (Thaïlande), à 40 km de la frontière du Cambodge, a été installé hâtivement par le Haut Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies avec la collaboration du gouvernement thaïlandais à la fin du mois d'octobre 1981.
Quel dommage que tant de chrétiens méconnaissent le vrai visage de Thérèse d'Avila (1515-1582) ! Pour beaucoup, elle est une figure du passé, appartenant à une époque connue pour la rudesse de ses mœurs, la monarchie absolue, l'Inquisition, le maintien en tutelle des femmes, etc.
J'aimerais parler de ma mère. Qu'est-elle pour moi ? Une mère ! Mais une mère comment ? Une mère merveilleuse. Et aussi une mère bien quelconque.
Plus que les adultes peut-être, qui se sont « tassés », les enfants connaissent le perpétuel va-et-vient des brouilles entre amis, des alliances faites et défaites en quelques heures.
Accompagner quelqu'un qui se trouve confronté à une grande souffrance, de celles qui entraînent une certaine « mort » (mort à une espérance, à une image, à une manière de vivre, à la vie tout simplement), est un service fraternel délicat à rendre.
Sans hésiter, il faut répondre « oui, certainement », mais en posant un préalable indispensable que les grands-parents n'acceptent pas toujours !
Même si nous voyons les hommes s'entre-déchirer au nom d'idéologies ou de religions, nous croyons qu'il existe au plus profond du cœur de chacun une aspiration commune à l'Absolu.
Pour mes compagnons et moi qui, depuis une dizaine d'années, vivons à Marseille dans une cité H.L.M., ou encore à l'hôpital où je travaille, vivre avec l'étranger est une réalité quotidienne.
Prendre en compte le monde de l’ « incroyance » de la « non-croyance » n’est pas pour le croyant une mode, ni un prosternement devant le monde, consécutif à la découverte (quelque peu tardive!) de nouvelles cultures saisies avant tout dans leurs manifestations concrètes : modes de vie et manières de se situer dans l’univers contemporain.
A première vue, on pourrait penser que le temps de l’espérance est celui où apparaissent les signes d’un renouveau, les premières lueurs d’une aube, le premier soleil d’un printemps.
Ce mot, lancé en 1978, se lit désormais partout. Il désigne l’ensemble des apports obtenus en associant de façon organisée les fonctions du téléphone, de la télévision et de l’ordinateur. De là sont nées des techniques nouvelles: bureautique, robotique, courrier électronique, banques de données réparties, paiement électronique, etc.
La paroisse est le lieu où des chrétiens fidèles, observants, se rencontrent en Eucharistie pour puiser la force de vivre et de choisir vieille réalité chrétienne — et combien petite, menacée par les chrétiens eux-mêmes qui la quittent ou ne font souvent que la traverser.
On ne peut guère parler aujourd’hui de « monde étudiant », si ce n’est comme une catégorie statistique (900 000 en France, dont un tiers à Paris). Il n’y a plus de monde étudiant unifié.
Au départ, deux mères de famille qui aiment les enfants, qui aiment les livres et sui ont quelques heures disponibles dans la semaine.
Dans la plupart des pays d’Afrique de l’Ouest, un enfant sur deux meurt avant l’âge de quatre ans. Chiffre mal connu, chiffre terrible, qui cache sous la froideur statistique d’incommensurables souffrances.
Peut-être aimerait-on rêver Mais, vraiment non, ce n’est pas le moment ! Branchez votre transistor, allumez votre télévision, achetez votre journal du matin ou du soir : une énorme chape de plomb vous tombe sur la tête.
Le produit a été ajouté au panier
