Revue N°7 - Septembre 2010

Edito

Dieu vit que cela était bon

C’est la rentrée scolaire et il nous a semblé tout naturel d’aborder les questions d’éducation. Mais que mettons-nous sous ce mot? Favoriser la croissance, aider l’enfant ou le jeune à développer ses aptitudes intellectuelles, physiques et morales? Lui donner le maximum d’atouts pour réussir sa vie et s’épanouir dans le respect des autres? Voilà pour la théorie. Côté pratique, nous donnons ce que nous pouvons, comme nous pouvons. Du bon et du moins bon. Du conscient et de l’inconscient. Sans oublier que nos façons d’être et d’agir ont bien plus d’impact que tous nos beaux discours.

Fort heureusement, une éducation ne repose jamais sur une seule personne et les manques de l’un sont compensés par les richesses d’un autre. Il n’y a pas non plus de date de péremption au-delà de laquelle tout progrès ou tout apprentissage serait impossible. Rien n’est jamais fini.

Pour cela il nous faut croire et témoigner que la vie est plus forte que la mort, le bon plus fort que le mauvais etque tout n’est pas joué d’avance. « Dieu vit tout ce qu'il avait fait : cela était très bon. » Un vilain serpent est
passé par là, ne soyons pas naïfs, mais le Christ est ressuscité ; c’est vrai tous les jours, pas uniquement le jour de Pâques. Arrêtons-nous un instant et regardons ceux que nous avons mis au monde ou qui nous ont mis au monde, au propre ou au figuré. Et goûtons ce qui est très bon.

Florence LEROY
 

Prier dans l'instant / Billet

Question de communauté locale

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