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Revue N°21 - Janvier 2013
Et mon corps ?
Pendant longtemps, marqués par de longs siècles de soupçon et de méfiance, nous avons cohabité avec notre corps, comme étrangers l’un à l’autre. Aujourd’hui, total bouleversement culturel, les sciences humaines nous apprennent que nous ne sommes pas enchainés à un serviteur plus ou moins docile : mon corps c’est moi, totalement moi. D’où ce désir impérieux de l’habiter, d’y être à l’aise et d’utiliser ses merveilleuses richesses pour vivre plus et mieux.
Mon corps me parle. Il sait me dire, si j’accepte de l’entendre, ce que ma conscience ne sait pas toujours exprimer quand mes désirs profonds ou mes peurs archaïques se manifestent. Il arrive aussi que j’arrive à dénouer mes raideurs et mes blocages en passant par mon corps. Il sait traduire concrètement la force et l’intensité de la relation amoureuse mais il peut aussi préparer la discrète douceur du dialogue personnel avec Dieu dans une prière que mes paroles ne savent plus dire.
Si je nie ses rythmes, ses exigences propres, ses faiblesses, le corps peut se cloitrer dans le silence ou crier sa douleur. Aussi dois-je être attentif à sa parole sans lui faire violence.
Yves de Gentil-Baichis
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Corps et prière
Il y a quelques années, je me suis décidée à participer à une session, ou plutôt une retraite dont le thème était « Corps et prière ». Cela se passait à Biviers au cœur de l'été...
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« Je suis vivant ! »
Après un violent burn-out, Gilles a repris goût à la vie par une lente rééducation par les sens.
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« Apprivoiser mon corps »
Que faire quand la douleur ne permet pas l’accueil et la disponibilité à soi et à l’autre ?
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Accepter de s’ouvrir aux autres
« Oser dire la fragilité de mon corps, ce fut un nouveau chemin vers les autres. »